APIS MELLIFERA – JUSTINE CHAMMARTIN, ELISA VILLEMIN ET LAURIANNE CHASSOT
DU 10 AU 29 AVRIL 2017
La Serre a le plaisir de présenter une série d'expositions en collaboration avec la classe de quatrième année d'OS Arts visuels de Laurie Vannaz du GYB/Gymnase intercantonal de la Broye. À cette occasion, les étudiantes sont amenées à penser et concevoir une exposition de nature installative prenant ses quartiers dans La Serre. Elles développent un projet en relation avec le cadre et le lieu particulier dans lequel La Serre s'inscrit, tout en exprimant une réelle proposition artistique.
Dans le passé, la technologie a été un bienfait pour l’homme, maintenant,elle devient un danger. Même en tant que paix, elle commence à détruire la terre.
Edward Bond, artiste, dramaturge, écrivain, metteur en scène et traducteur
Nous vivons entourés de technologie, avec la technologie, par la technologie.
Depuis quelques années, la recherche et la science ne cessent de perfectionner les domaines indispensables à une bonne qualité de vie, principalement la médecine, l’industrie et l’agriculture. Les innovations technologiques y apportent leurs avantages et leur degré de perfection que la nature ne permet pas ; mais nous avons tendance à oublier le revers de la médaille.
Inexorablement, la technologie prend le pas sur l’agriculture biologique et la nature. Les abeilles sont un maillon indispensable à notre écosystème et pourtant leur nombre diminue de plus en plus vite, à cause de la pollution, des pesticides et de l’insuffisance de fleurs à polliniser dû à l’agriculture intensive ou aux monocultures. En voulant supprimer les faiblesses naturelles ou les anciennes erreurs humaines, nous en créons de nouvelles, qu’il faudra ensuite éliminer par d’autres améliorations. Nous nuisons à notre Terre et à nous-mêmes.
Inspirée de l'épisode Hated In The Nation de la série télévisée Black Mirror, l’installation APIS MELLIFERA (nom scientifique de l’abeille européenne) vise à montrer où risque de nous mener notre intarissable obsession de la perfection : dans le cercle vicieux où le mieux est l’ennemi du bien.
Justine Chammartin, Elisa Villemin et Laurianne Chassot sont etudiantes au Gymnase intercantonal de la Broye de Payerne. Elles suivent le cours de l’option spécifique Arts visuels en quatrième année. Grâce à La Serre, elles ont la possibilité d’exposer une installation propre à ce lieu et de découvrir tout ce qu’implique un tel travail.
Texte: Justine Chammartin, Elisa Villemin et Laurianne Chassot
Dans le passé, la technologie a été un bienfait pour l’homme, maintenant,elle devient un danger. Même en tant que paix, elle commence à détruire la terre.
Edward Bond, artiste, dramaturge, écrivain, metteur en scène et traducteur
Nous vivons entourés de technologie, avec la technologie, par la technologie.
Depuis quelques années, la recherche et la science ne cessent de perfectionner les domaines indispensables à une bonne qualité de vie, principalement la médecine, l’industrie et l’agriculture. Les innovations technologiques y apportent leurs avantages et leur degré de perfection que la nature ne permet pas ; mais nous avons tendance à oublier le revers de la médaille.
Inexorablement, la technologie prend le pas sur l’agriculture biologique et la nature. Les abeilles sont un maillon indispensable à notre écosystème et pourtant leur nombre diminue de plus en plus vite, à cause de la pollution, des pesticides et de l’insuffisance de fleurs à polliniser dû à l’agriculture intensive ou aux monocultures. En voulant supprimer les faiblesses naturelles ou les anciennes erreurs humaines, nous en créons de nouvelles, qu’il faudra ensuite éliminer par d’autres améliorations. Nous nuisons à notre Terre et à nous-mêmes.
Inspirée de l'épisode Hated In The Nation de la série télévisée Black Mirror, l’installation APIS MELLIFERA (nom scientifique de l’abeille européenne) vise à montrer où risque de nous mener notre intarissable obsession de la perfection : dans le cercle vicieux où le mieux est l’ennemi du bien.
Justine Chammartin, Elisa Villemin et Laurianne Chassot sont etudiantes au Gymnase intercantonal de la Broye de Payerne. Elles suivent le cours de l’option spécifique Arts visuels en quatrième année. Grâce à La Serre, elles ont la possibilité d’exposer une installation propre à ce lieu et de découvrir tout ce qu’implique un tel travail.
Texte: Justine Chammartin, Elisa Villemin et Laurianne Chassot
L'installation de LA SERRE et son programme d'expositions sont réalisés
grâce à l'aide et au généreux soutien de:
grâce à l'aide et au généreux soutien de: